Aimeriez-vous bénéficier d’une formation mais vous vous demandez comment la financer ?
Quelle que soit votre situation, il existe un dispositif de financement pour soutenir votre projet de formation et stimuler votre parcours professionnel.
C’est le moment de vous lancer !
Notre objectif est de vous aider à obtenir des réponses à vos questions et à vous accompagner dans votre projet de formation.
Tous les actifs bénéficient du Compte Personnel de Formation (CPF) sur lesquels sont mobilisés des droits dédiés à la formation professionnelle.
Découvrez le Compte Personnel de Formation !
Pour un entretien gratuit et sans engagement
Les employeurs ont l’obligation de mettre en place des actions de formation professionnelle pour leurs salariés, notamment en élaborant un plan de formation annuel, en proposant des formations obligatoires et en permettant à leurs salariés d’utiliser leur CPF ou de bénéficier d’un CIF.
Ils doivent également verser une contribution financière à la formation professionnelle.
Le CIF est un dispositif qui permet aux salariés de s’absenter de leur poste de travail pour suivre une formation professionnelle de leur choix, dans la limite d’un nombre d’heures défini.
Pour bénéficier d’un CIF, il est nécessaire de remplir certaines conditions d’ancienneté et de démarcher son employeur pour lui soumettre sa demande de congé.
Depuis le 1er janvier 2021, le CPF est ouvert à tous les actifs, y compris les agents publics (fonctionnaires et contractuels) de la fonction publique d’État, de la fonction publique territoriale et de la fonction publique hospitalière.
Ces droits peuvent être mobilisés pour financer une formation professionnelle éligible. Cependant, les règles de gestion du CPF pour les agents publics sont spécifiques et peuvent varier selon la fonction publique concernée.
Il faut vérifier auprès de son administration employeur que l’exercice d’une activité d’auto-entrepreneur est compatible avec son statut et ses obligations de service public.
Certains emplois publics sont incompatibles notamment ceux liés à la sécurité, à la justice, à la santé ou à l’éducation.
Le fonctionnaire doit informer préalablement sa hiérarchie de son intention de créer une activité d’auto-entrepreneur et obtenir une autorisation écrite.
Il doit également respecter les limites de temps de travail et les règles de déontologie applicables à son emploi public.
Enfin, il convient de vérifier que l’activité d’auto-entrepreneur n’entre pas en concurrence avec son activité de fonctionnaire.